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M. Chevrier fait une distinction entre ces deux chaussures. D'après lui, cn se référant aux pièces du même genre publiées dans le Traité de la Maréchalerie vétérinaire dc M. Rey, l'hipposandale se compo­serait d'une semelle rendant assez exactement l'empreinte du pied du cheval avec deux larges pinçons ou oreillons amortis en boucles qui sc relèvent sur les côtés, et un quarticr également relevé par derriere. La semelle est souvent forée ; l'un des oreillons est muni d'un anneau par où passait la courroie destinée à lier l'appareil autour du pied.
M. Quicherat, dans sa notice « La question du ferrage des chevaux
Stèle flnékaire oallo-romai.sk. conservée ai .musée de Nancy
en Gaule >*, dont nous avons déjà parlé, nous donne la description d'un monument gallo-romain conservé au Musée de Nancy qui. en confirmant l'opinion de M. Delacroix, nous porte A croire que la sole