Bulletin de la Montagne Sainte-Genevieve tIV 1904 - http://www.archive.org/details/bulletindelamont04comi

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cette dévotion se ralentit et bientôt toute trace d'agitation disparut.

Ecartél de la tombe qui leur était chère, les convulsionnaires se livrèrent en cachette à leurs odieuses pratiques. Nous ne les suivrons pas sur ce nouveau terrain; éloignés de Saint-Médard. ils ne nous appartiennent plus.

Comme nous l'avons vu, le cimetière resta rigoureusement fermé jusqu'en 1S07, année où il fut définitivement désaffecté par Ies soins de l'abbé Merlier, curé de Saint-Médard à cette époque 1). Toutes les

• ra-re des messes. oni nue 1 Ji,tribun des petit» paqueti de lin^ecl «lu baril du li: de M. de « l'An», cr qui attire quantité d Lomme» et de femmes qui lont t ulc dan» n tro sairnti.- ....

i Lettre en date Ju 2 avr tI t? JJ, sign/e ls Jenne, Jaitenr Je la Sorbonne et ri.Jir/ Je St-M'Ja'J — Archive* de la M.nlille, vol ime 1019b

. Ma lame Caumont y oit venue avec une «lame el une religieuse qui parait être .onvalci-« cente J'j cru quelle manderait lo» balustrades de la chapelle qui eil devant le cimetiere

• ct la p rleneivc à f rec do le» baiser. Raffier! non signe en Jate Ju 2 J août 17J2. — Arthun de la Haillllc volume ion,'-. Celle iliapellc etait tello du S'-'-acrenient. ap|>elee ausi chapelle du luisant'.

i •». n ui cn cr yoni un document janséniste ayant pour litre : IJxposé de ce qui s'est passé .i u urncttcr'c dc saint Medard le y janvier tSuj à I exhumation que M Heriter desservant de /.i paroisse JU Jatre du cimtturt et en particulier du corps du li. diacre l'rançois de l'dris, la dt îatl •> tal on du petit i uuclioro ile "-ainl-Mod.ird aurait olo clandestine et aurait servi a rua» qu.-r la drilr u lion dc la tombe .lu diaire l'.iris ct la dispersion de «e» ossements, quc le t ure Bertier aura t soi-d sant tenu à taire disparaitre par haine religieuse. D'après cette relation on »e sera •. acharne a\ec une veritable sauvagerie sur la sépulture «le Francois Pâris. Apré-, avoir tas» la .1 ille de marbre qui recouvrait le tombeau, on aurait (oui lo Li tombe, .-ventre le cercueil, br «c- le squelette à coups de boc lio ol jeté los débris dans une tranchée- deja en partie C m ble c d ssements divers.

00 sera t mème aile plus loin. Le soir du jour ou les restes du d acre avaient été dé^a,;. s. vers 4 he urs labbé Merlier accompagné do sa sersante. une demoiselle Citiedar, portant une lanterne ■ ur le so serait rendu au cimetiere, pour s'assurer que le corps du defunt c\ ila t r ll ment dain la t jmbe quc loo venait d ouvrir La servante ayant om s la crainte que la 1-pu lur.- ne I .t v de, 1 abbe Hert er se îcrait c ue bo sur le b rti de la toise el, allongeant un bras lan. le tenu ■ 1. aura I tilt a haute voix en lonslalanl par le loucher que le lambeau

0 av ait pts t. antérieurement viole . ll y eil ily est'

1 est nut cie s .u'.t^nerl extravagance de ce réel Ncubl ons pas quo le îcul d lUiiienlq.c

1 in p ss de sur celte affaire est un d <c u nient janson ite, c rit a il re \i lemni. nt li .i', le au tur .1 Saint M lard La \> rr..- est beaucoup plus simple. En r« aille le pet.li niel i re d • I . ^1 »c (.té ul lé en vert 1 d- I arr.' t • pr< !c« t nai «lu 21 vent • e an 1 \ 1 j nul i l' 1 ord nnaat a

uj pr si > T t us I 1 i mr-, erei par . n a 1 uni ex cpt in, am'te <|u| re it .ajr ne e:

ent r e» il Lt 1 nde sa lar er lur Ia to te- du d ai ie, I abb. llet fr r, i- ire de la pa

rs. lr, si¹¹ j mle j mn-e» p ur rde. tuer la d'«tio. lat n q 1 I arrêt di ji ient e

r na t l' r <| )u .n de J r 1». i ie dobarratiet d un so 1 n^e dei i^n able, I iaut rr n

n 1 tr u n y 11 t <|u ne ate reiat se

Tr r. te 1 1 ra t I a iam tur la t mbo de 1-ltn., li Par i l»>ul ie i is n ld-

I iuw a re Iatan lon 1 lin r ni r, I ubi priaient i ir ia 1. 1 re Depu 1 p 1 I un s e q e e (al ru» ja -i. ste la t iu rt tant d 1. nementi 1 U rt t mi.mu» que I fla. e t le o.rlt. qu emr >ppa onti ni us.i r «Uieiti -pr. tir 111 ble» in juil »

ll,n. e n l' n. n . ip J dt e ie t q e I a b Hert er a I « ru 1 le i_, 1 I. _ke

d • t in a ls r a rel I a . uient lat 1» " du d 4, re l'ai • d «| arut en e le | ■ . t utr.

. • Uri q pe p. enl l> i ri re ie I n •!• iafl . la ! \u iur| 1 le ur I -a nt M lar I id tt >un .1 s r fait ei nier I | rati n qui lui etait rep il | I eil ei le

c rpt lar etn ur.) ni | ie .a p t itai eil 1 n «r

A) U q c trente an tu | nai 1 t cn I * avt t I a q r t n d nfle III-



	— 241 — cette dévotion se ralentit et bientôt toute trace d'agitation disparut. Ecartél de la tombe qui leur était chère, les convulsionnaires se livrèrent en cachette à leurs odieuses pratiques. Nous ne les suivrons pas sur ce nouveau terrain; éloignés de Saint-Médard. ils ne nous appartiennent plus. Comme nous l'avons vu, le cimetière resta rigoureusement fermé jusqu'en 1S07, année où il fut définitivement désaffecté par Ies soins de l'abbé Merlier, curé de Saint-Médard à cette époque 1). Toutes les • ra-re des messes. oni nue 1 Ji,tribun des petit» paqueti de lin^ecl «lu baril du li: de M. de « l'An», cr qui attire quantité d Lomme» et de femmes qui lont t ulc dan» n tro sairnti.- .... *i Lettre en date Ju 2 avr tI t? JJ, sign/e ls Jenne, Jaitenr Je la Sorbonne et* ri.Jir/ Je St-M'Ja'J — Archive* de la M.nlille, vol ime 1019b . Ma lame Caumont y oit venue avec une «lame el une religieuse qui parait être .onvalci-« cente J'j cru quelle manderait lo» balustrades de la chapelle qui eil devant le cimetiere • ct la p rleneivc à f rec do le» baiser. Raffier! non signe en Jate Ju 2 J août 17J2. — Arthun de la Haillllc volume ion,'-. Celle iliapellc etait tello du S'-'-acrenient. ap\|>elee ausi chapelle du luisant'. i •». n ui cn cr yoni un document janséniste ayant pour litre : IJxposé de ce qui s'est passé .i u urncttcr'c dc saint Medard le y janvier tSuj à I exhumation que M Heriter desservant de /.i paroisse JU Jatre du cimtturt et en particulier du corps du li. diacre l'rançois de l'dris, la dt îatl •> tal on du petit i uuclioro ile "-ainl-Mod.ird aurait olo clandestine et aurait servi a rua» qu.-r la drilr u lion dc la tombe .lu diaire l'.iris ct la dispersion de «e» ossements, quc le t ure Bertier aura t soi-d sant tenu à taire disparaitre par haine religieuse. D'après cette relation on »e sera •. acharne a\ec une veritable sauvagerie sur la sépulture «le Francois Pâris. Apré-, avoir tas» la .1 ille de marbre qui recouvrait le tombeau, on aurait (oui lo Li tombe, .-ventre le cercueil, br «c- le squelette à coups de boc lio ol jeté los débris dans une tranchée- deja en partie C m ble c d ssements divers. 00 sera t mème aile plus loin. Le soir du jour ou les restes du d acre avaient été dé^a,;. s. vers 4 he urs labbé Merlier accompagné do sa sersante. une demoiselle Citiedar, portant une lanterne ■ ur le so serait rendu au cimetiere, pour s'assurer que le corps du defunt c\ ila t r ll ment dain la t jmbe quc loo venait d ouvrir La servante ayant om s la crainte que la 1-pu lur.- ne I .t v de, 1 abbe Hert er se îcrait c ue bo sur le b rti de la toise el, allongeant un bras lan. le tenu ■ 1. aura I tilt a haute voix en lonslalanl par le loucher que le lambeau 0 av ait pts t. antérieurement viole . ll y eil ily est' 1 est nut cie s .u'.t^nerl extravagance de ce réel Ncubl ons pas quo le îcul d lUiiienlq.c 1 in p ss de sur celte affaire est un d <c u nient janson ite, c rit a il re \i lemni. nt li .i', le au tur .1 Saint M lard La \> rr..- est beaucoup plus simple. En r« aille le pet.li niel i re d • I . ^1 »c (.té ul lé en vert 1 d- I arr.' t • pr< !c« t nai «lu 21 vent • e an 1 \ 1 j nul i l' 1 ord nnaat a uj pr si > T t us I 1 i mr-, erei par . n a 1 uni ex cpt in, am'te <\|u\| re it .ajr ne e: ent r e» il Lt 1 nde sa lar er lur Ia to te- du d ai ie, I abb. llet fr r, i- ire de la pa rs. lr, si¹¹ j mle j mn-e» p ur rde. tuer la d'«tio. lat n q 1 I arrêt di ji ient e r na t l' r <\| )u .n de J r 1». i ie dobarratiet d un so 1 n^e dei i^n able, I iaut rr n n 1 tr u n y 11 t <\|u ne ate reiat se Tr r. te 1 1 ra t I a iam tur la t mbo de 1-ltn., li Par i l»>ul ie i is n ld- I iuw a re Iatan lon 1 lin r ni r, I ubi priaient i ir ia 1. 1 re Depu 1 p 1 I un s e q e e (al ru» ja -i. ste la t iu rt tant d 1. nementi 1 U rt t mi.mu» que I fla. e t le o.rlt. qu emr >ppa onti ni us.i r «Uieiti -pr. tir 111 ble» in juil » ll,n. e n l' n. n . ip J dt e ie t q e I a b Hert er a I « ru 1 le i_, 1 I. _ke d • t in a ls r a rel I a . uient lat 1» " du d 4, re l'ai • d «\| arut en e le \| ■ . t utr. . • Uri q pe p. enl l> i ri re ie I n •!• iafl . la ! \u iur\| 1 le ur I -a nt M lar I id tt >un .1 s r fait ei nier I \| rati n qui lui etait rep il \| I eil ei le c rpt lar etn ur.) ni \| ie .a p t itai eil 1 n «r A) U q c trente an tu \| nai 1 t cn I * avt t I a q r t n d nfle III-