- 231 -
■ 3° Une vendeuse de chapeaux Vient de guérir de tous ses maux : Cependant la sainte femelle, Dont on dit la cure si belle. Enragé encore cn son pourpoint, J'en prends ses jambes à témoins ( i).
"4° Un capucin passant par là Contre le miracle cria (2); Sur son poil la troupe se jette, On lui rend la moustache nette ; S'il eût été de Loyola (3). ll eût laissé son pourpoint là (4).
15° Retirez-vous, frère Julien, Grâce à Dieu ma mère entend bien. En vous adressant au saint homme Qu'on canonise malgré Rome, ll a plus fait sans vanité, Que .Messieurs de la Faculté (5).
16° Anive tous les sens torublés, Et les poumons tout essoulllés, .Monsieur Grippy, le garde-note,
Qui sur un miracle escamote; Car un miracle il ne croit pas S'il ne vou compter les ducats |i>).
17" Qu'on consulte les avocats. Leur secours ne manquera pas. Quand leur majesté sou\erame Aura dit : la chose est certaine, En dépit du pape et du roi Le miracle sera de foi (7).
1S0 Qu'on nous rende .Monsieur Pom-
[mart, Le vrai curé de Saint-.Médard, Nous ferons cesser les miracle:-., Saint Pâris n'y met pas obstacles. Sinon .Monsieur Defangins Nous allons faire un nouveau saint.
19" Or, prions le doux Rédempteur De préserver de tout malheur Cette grande et fameuse ville, Et de la rendre plus docile A l'archevêque de Paris Qui ne \eut pas de saint Pâris.
< t.nt hy.lr pit|ue t-t qu'elle vrai» guerie par l'intercession du H. II. Chaquc soir elle se ren.lait à -.uni Medan! portant rn main un grand cierge tt fai-..cit tir 1 Figues oraison-.. l.a supcrilit-nc f I il. i ju .•tri-, a la grande • Iere des jannniste».
I Mirai lr il une i hapelu-re qui, pcrclii.c dr. deux jambe* et qi I. dit-on. n i-t.ilt pa» * rt e ile chr/ elle depuis 14 an», f I K»* rie au ti m tici u. C etté guerisun tit grand bruit et attila che/ i r.te femme beau up ile nn.mle Jaman elle ne vendit tant de cl apeaux, ajoute I auteur a iquei non» emprunt. n» i .» il. tail».
i \ ir plu» haut 1 U «t lre ile 1 e l', rr i apût ln. t e t a d ie j. -.uilr
4. I-. ' t 1 ti Jimmini
S lettr tennue, il ruli I i-e «ur la p ir ii«c ile --aint fîerinaln 1 \u»crr », fut gui ' r - » mal ! n iiii 1 par ile la terre qu elle i royall avoir 1 ti apport" e ile --aint M. ilanl rt qi I en riait, pr venait ■! un Janlin viii.in ile «a demeure t nn qui .na int a.Iml.ii.lt. te r ..li 5 1 r■ u rn t rn un det ni et ln»lall< rent 1 he/ l'ro. "pe. au i ate ile la t imih dle une | han.a e ci li ve ile t utr» le» ili gue» «'l' nique», ald rallve» 1 t ili «llui lu. » .lr a».ni'             t mme
.liuit leui - i »|>e. tu»
». On pallé I I il 1 n laue Charoi il enregîtrer li » mirai le» < e tabe nn gagt a il t n plut •I argrnt q le t u« le» mal ■ le» en»ei Lle qui 1 uralent au t r<ib au altln » | ar la I! ile ,1 /'rr / rue.
\lliiti n aux nnmbrru»e» , n«u tail >n» il a\ cat» url «mirai le» Darblet ra lr uni ment .lati« «e» nn m lie» 1 1 » mb n» qui pn 'emlaietit tiatu I ei e« | e.t n» dr dogme.