Bulletin de la Montagne Sainte-Genevieve tIV 1904 - http://www.archive.org/details/bulletindelamont04comi

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— à lui demandé quel était le nom et la demeure de son procureur el notaire de la fabrique de la ci-devant église de Sainr.Médard.

— a répondu ne pas se rappeler de son nom et que d'ailleurs cela regardait les marguilliers en chargéde la subdite paroisse.

Lecture à lui faite a déclaré contenir vérité et a signé :

Dubois (i).

Arrété après cet interrogatoire, il fut enfermé au Luxembourg, d'où il sortit le r^r floréal an ll 20 avril 1794) ²)> ^sur l'ordre du Comité dc sûreté générale.

Obligé dc travailler pour vivre, il ouvrit une boutique d'épicier rue Saint-Victor, à l'enseigne de la Providence (3 .

Saint-Mhdard rendle au culte. — La suppression dc l'exercice des cultes ct la fermeture de toutes les églises, chapelles, oratoires. temples... etc. avaient soulevé de violentes protestations. Le peuple de Paris, dans sa grande majorité, protestait contre la décision dela Commune ct réclamait énergiquement la réouverture des eglises. En 1794, I-³ Convention nationale était littéralement accablée dc lettres ct dc pétitions lui dcmandantdc rétablir la liberté des cultes (4». Grégoire se fit à la tribune dc cette assemblée l'écho de ces réclamations. Avec le courage dont il était coutumier, il s'éleva contre la proscription du culte religieux, la dévastation ct destruction des églises ct la persécution des prêtres discours du i" nivôse an III. 21 décembre 1794) 5 . Profondément remuée par le discours de l'évêque de Blois, la Convention comprit qu'il lui serait difficile de résister plus longtemps à la volonté générale ct, par le décret du

1 \ t ne Robart llheure 111», fabricant .le bleu, 41;.-de j 3 an» , Ja. .Jue» \u(justr I ,u.J>n, •»«•• «le 53 an» ct .Ièm . Pierre (.obclrl, t amleur, .i^c .le 51 an» .1 3 mina , Uuclirmln |» re, 4^.- tir ^ ,1111 Iterubi^ny, .Ig .le 61 am, ct 1 ior k ny. à .je .le ' > a 1», »e prt -.entèrent le 1en.le main .n. mp.n;ri c dn labbé I luboi»,'.levkn t le Lumili r. v> lull unalre de la »ei tum .1 I mi terc, u I leur f t ilcmand.' le nom cl la ilrmruic du n t.t re 1 t du 1 r ur ut de U fai ruiue •N- ^sa ni Molard Le» un» d rent ne pa» »e rappeler le» nom» qu on leur <lem.in.la t ; il atitiei, Out-.lon, (j be I, 1 «uchemln. tirent mnn.i'tre le n m «lu pro. ur. ur n t ert.i n "-aintr M ili. , domu hr r ie dr» N..yrr»; un autre I lcrulj|_Kny -I.lilia le n 111 du n< ta ie le » u I a i_k ., «I mi Ille rue «le la M nnaie Héraire Ju Connie' rivoluti nnttire Je ta in Ji n Ju I irmfrrr pro».- verb.I «le la .éance «lu ,, pl m' ».• .111 11, i₄ r.-.,|rr 1 ,₄ t un 11 r l'abbi ll I . 1 f «rent arr£t » pri I ir Interr j;at re

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	— 123 — — à lui demandé quel était le nom et la demeure de son procureur el notaire de la fabrique de la ci-devant église de Sainr.Médard. — a répondu ne pas se rappeler de son nom et que d'ailleurs cela regardait les marguilliers en chargéde la subdite paroisse. Lecture à lui faite a déclaré contenir vérité et a signé : Dubois (i). Arrété après cet interrogatoire, il fut enfermé au Luxembourg, d'où il sortit le r^r floréal an ll 20 avril 1794) ²)> ^sur l'ordre du Comité dc sûreté générale. Obligé dc travailler pour vivre, il ouvrit une boutique d'épicier rue Saint-Victor, à l'enseigne de la Providence (3 . Saint-Mhdard rendle au culte. — La suppression dc l'exercice des cultes ct la fermeture de toutes les églises, chapelles, oratoires. temples... etc. avaient soulevé de violentes protestations. Le peuple de Paris, dans sa grande majorité, protestait contre la décision dela Commune ct réclamait énergiquement la réouverture des eglises. En 1794, I-³ Convention nationale était littéralement accablée dc lettres ct dc pétitions lui dcmandantdc rétablir la liberté des cultes (4». Grégoire se fit à la tribune dc cette assemblée l'écho de ces réclamations. Avec le courage dont il était coutumier, il s'éleva contre la proscription du culte religieux, la dévastation ct destruction des églises ct la persécution des prêtres discours du i" nivôse an III. 21 décembre 1794) 5 . Profondément remuée par le discours de l'évêque de Blois, la Convention comprit qu'il lui serait difficile de résister plus longtemps à la volonté générale ct, par le décret du 1 \ t ne Robart llheure 111», fabricant .le bleu, 41;.-de j 3 an» , Ja. .Jue» \u(justr I ,u.J>n, •»«•• «le 53 an» ct .Ièm . Pierre (.obclrl, t amleur, .i^c .le 51 an» .1 3 mina , Uuclirmln \|» re, 4^.- tir ^ ,1111 Iterubi^ny, .Ig .le 61 am, ct 1 ior k ny. à .je .le ' > a 1», »e prt -.entèrent le 1en.le main .n. mp.n;ri c dn labbé I luboi»,'.levkn t le Lumili r. v> lull unalre de la »ei tum .1 I mi terc, u I leur f t ilcmand.' le nom cl la ilrmruic du n t.t re 1 t du 1 r ur ut de U fai ruiue •N- ^sa ni Molard Le» un» d rent ne pa» »e rappeler le» nom» qu on leur <lem.in.la t ; il atitiei, Out-.lon, (j be I, 1 «uchemln. tirent mnn.i'tre le n m «lu pro. ur. ur n t ert.i n "-aintr M ili. , domu hr r ie dr» N..yrr»; un autre I lcrulj\|_Kny -I.lilia le n 111 du n< ta ie le » u I a i_k ., «I mi Ille rue «le la M nnaie Héraire Ju Connie' rivoluti nnttire Je ta in Ji n Ju I irmfrrr pro».- verb.I «le la .éance «lu ,, pl m' ».• .111 11, i₄ r.-.,\|rr 1 ,₄ t un 11 r l'abbi ll I . 1 f «rent arr£t » pri I ir Interr j;at re 1 \ve- Iji furcr t e ar,;l« \ ri t 11e K • ri ! Il ■ ure. N u la»Ja..\|ue< \.^u»t Luri n l>u-« hem n pere Je.-,-i Ant ln 1 Irl t,Uny, I > rl^n> l'irir ll u I.lr ri 1 M r e *\ ie l' n (. rlet ne ice .itiwa «.1 I ! rie qn. le j , ^rtnil al t .ant r j avr I I u< ', rt I ai > . \| rr 11 le t , ll ri I •I*or 1' au1 1, ,\| . j ^tlrnldl /iiWf iu v Je Ul* *Heviluti* n /r.inc.iur t. Ill 4 \. (sa«er I-tuJcx tur I hi t ue frh/(ieue Je* t.i n/r tu 11 ,n/>.in₄ lui 5 A (ui er «iii- off