Bulletin de la Montagne Sainte-Genevieve tIV 1904 - http://www.archive.org/details/bulletindelamont04comi

— Ill —

Beauchamps et Moussard (i qui, depuis cette époque, en disposent à leur gré ; que ces bedeaux ont ouvert les portes de l'édifice aux ci-devants marguilliers et que ceux-ci. sous la direction du citoyen Rubigny de Bertheval, domicilié. 3 rue Censier, v assurent l'exercice du culte catholique. Le commissaire de police ajoute qu'il s'est rendu plusieurs Ibis à Saint Médard et qu'il y a vu des femmes, des enfants, beaucoup de « vieilles tètes » et des individus mendiants ; que la grande porte sur la rue était fermée et qu'on entendait du dehors le chant des prêtres, des dévots et des orgues. Cette situation devait durer jusqu'au ii prairial an 111 3o mai 1705 .

Miens posskdls pau l'églisk \ l'h'O>,>i'e iu: sa dksai i i.ci \tiov La fermeture des églises, chapelles, couvents, etc., entraina a\ecclle la confiscation, au profit de la nation, de tous les biens quc ces établissements possédaient en tant qu'institutions religieuses. Ceux appartenant à la fabrique de Saint-.Médard subirent naturellement le sort commun 11s se composaient d'immeubles et de rentes diverses assignées sur la paroisse. Grâce au sommier general des proprietés nationales. — Section du /''inistère 2 et au Procès-verbal de l'enlèvement des arenives de Sai;:t-.\[Jdard 3 , il nous est possible d'établir hi lisle exacte de ces biens.

C Immeubles. — Les immeubles appartenant à la fabrique étaient cn petit nombre ct leur valeur s'élevait à une somme peu considérable. D'après l'estimation du Service des Domaines,ils représentaient au moment de leur confiscation, un capital de iqq.iuS livres. N'en lus par les soins de cette administration, à l'exception de l'église, affectée aux réunions révolutionnaires et ensuite aux différent:» cultes que l'on Mt éclore à cette époque, et d'une maison restituée à l'Assistance publique, ils produisirent à l'adjudication 3 ii».920 livres 4 .

Voici Li liste de ces immeubles avec leurs mutations :

1 -;•. 4 tnt >irt m r ient prr n r N I .i I r i lur .1.' Vt ■ Medard I»i >•,•-..I, I ■ < %•- t et cui h .>r t Me.» i hat pt ri i I 4 i . i b< tI. au M 4 d» t tir n r

< lt ! ir • I r. U r I lt r. ur

i \r I \r, .1 jur rt. 1 li nim mal . .1 11 I n 1 -. I tr .1 - I i -.. I

j \r 1 t M .1 % cr 1

« K i|ip n» 1 i] . 1 t I t rt >l 1 fr 1 t I r an 111 4., t lr r. t ) r »

< il 1) it rr ltr i jurrr u. d t . t ri > nai fi4l 1 1 1 • I I t r lr pi) r n pr t in u . u ■ i ir t n |U4 t I > I. 11 i i t .1 1 ■ r i tt t _k t 1 d 4

■ n i» p —t r, p lq t»r ) i-|. 4 u il-i 1 | t.i% tr 41 » 1 ol I ut'r r

j rod 1 1 I U vr tr d t pi | r lr. dr -<4 tit M- .I41.I



	— Ill — Beauchamps et Moussard (i qui, depuis cette époque, en disposent à leur gré ; que ces bedeaux ont ouvert les portes de l'édifice aux ci-devants marguilliers et que ceux-ci. sous la direction du citoyen Rubigny de Bertheval, domicilié. 3 rue Censier, v assurent l'exercice du culte catholique. Le commissaire de police ajoute qu'il s'est rendu plusieurs Ibis à Saint Médard et qu'il y a vu des femmes, des enfants, beaucoup de « vieilles tètes » et des individus mendiants ; que la grande porte sur la rue était fermée et qu'on entendait du dehors le chant des prêtres, des dévots et des orgues. Cette situation devait durer jusqu'au ii prairial an 111 3o mai 1705 . Miens posskdls pau l'églisk \ l'h'O>,>i'e iu: sa dksai i i.ci \tiov La fermeture des églises, chapelles, couvents, etc., entraina a\ecclle la confiscation, au profit de la nation, de tous les biens quc ces établissements possédaient en tant qu'institutions religieuses. Ceux appartenant à la fabrique de Saint-.Médard subirent naturellement le sort commun 11s se composaient d'immeubles et de rentes diverses assignées sur la paroisse. Grâce au sommier general des proprietés nationales. — Section du /''inistère 2 et au Procès-verbal de l'enlèvement des arenives de Sai;:t-.\[Jdard 3 , il nous est possible d'établir hi lisle exacte de ces biens. C Immeubles. — Les immeubles appartenant à la fabrique étaient cn petit nombre ct leur valeur s'élevait à une somme peu considérable. D'après l'estimation du Service des Domaines,ils représentaient au moment de leur confiscation, un capital de iqq.iuS livres. N'en lus par les soins de cette administration, à l'exception de l'église, affectée aux réunions révolutionnaires et ensuite aux différent:» cultes que l'on Mt éclore à cette époque, et d'une maison restituée à l'Assistance publique, ils produisirent à l'adjudication 3 ii».920 livres 4 . Voici Li liste de ces immeubles avec leurs mutations :

	1 -;•. 4 tnt >irt m r ient prr n r N I .i I r i lur .1.' Vt ■ Medard I»i >•,•-..I, I ■ < %•- t et cui h .>r t Me.» i hat pt ri i I 4 i . i b< tI. au M 4 d» t tir n r < lt ! ir • I r. U r I lt r. ur *i \r I \r,* .1 jur rt. 1 li nim mal . .1 11 I n 1 -. I tr .1 - I i -.. I j \r 1 t M .1 % cr 1 « K i\|ip n» 1 i] . 1 t I t rt >l 1 fr 1 t I r an 111 4., t lr r. t ) r » < il 1) it rr ltr i jurrr u. d t . t ri > nai fi4l 1 1 1 • I I t r lr pi) r n pr t in u . u ■ i ir t n \|U4 t I > I. 11 i i t .1 1 ■ r i tt t _k t 1 d 4 ■ n i» p —t r, p lq t»r ) i-\|. 4 u il-i 1 \| t.i% tr 41 » 1 ol I ut'r r j rod 1 1 I U vr tr d t pi \| r lr. dr -<4** tit M- .I41.I