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auront coopéré ou prêté main-forte pour cet acte de violence et d'injustice, et qui seront solidairement responsables du prejudice qui en résultera pour la Fabrique et ses créancier!-;
La présente deliberation sera signiliée au plutôt (su) à MM. les Maire et Officiers municipaux, ainsi qu'à MM. du Département et du Directoire de Paris, et elle sera envovée incessamment aux trente-deux paro sses de Paris;
L'Assemblée nomme M. d'Heur. m;irguilher-comptable, pour Commis saire; elle engage les autres l'droisses à en nommer chacune un, qui se ren­drait ù la Chambre du Conseil de Saint-Médard, mercredi premier août, pour rédiger une pétition à l'Assemblée nationale àquatre heures du soir. el ont signé: Hubois, curé, (Incourt, marguillier en charge, Hude, doyen, huchetnin, Rubigny, Dorigny, Perère, Le (Jraini.Arsillun, d'Heur fils, marguiHier-comptable el nommé commissaire, d'Heur, Fichard, Louis li'j/igny, Guesdon, (Joblet (i).
Ces deux protestations n'eurent pas, et ne pouvaient avoir d'effets utiles. Comme toutes les fabriques des églises de la capitale, celle de Saint-Médard dut laisscrenlever les quatre cloches que la muni­cipalité parisienne avait décidé de supprimer.
Le clocher de Saint-Médard resta muet jusqu'après le 18 brumaire. A ce moment seulement il fut permis aux paroisses de posséder de nouvelles sonneries 2 .
Ee k m et c n e ue l'éolisk et sa DÉciiHisTiANisATiON. — Ni l'empresse-ment mis par ses vicaires à préter serment à la constitution civile du clergé, ni son titre d'église constitutionnelle ne préservèrent Saint-Médr.rd des orages de la tourmente révolutionnaire. Son sort fut celui de toutes les paroisses de la capitale. Après mille entraves apportées sous la pression des clubs, et en particulier de celui des Jacobins, h la célébration des cérémonies catholiques partout entravées (3) et sus-
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