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évêque Odon, d'une par:, et l'abbaye de Sainte-Geneviève, repré­sentée par son abbé Jean, d'autre part. Aux termes de cette conven­tion l'évêque de Paris conservait sur toutes les églises du Mont, c'est-à-dire relevant de l'abbaye de Sainte Geneviève, la totalité des droits épiscopaux ou paroissiaux inhérents à ses fonctions épiscopales. En échange* de celte reconnaissance il exemptait du droit de Procu­ration les églises de Jossigny, Epinay, Vanves, Nanterre, Rosny et Saint-Médard (i). On sait qu'on appelait Droit de Procuration le tribut en argent ou en vivres que les églises étaient tenues dc payer aux évéques ou supérieurs qui les visitaient.
Deux siècles plus tard, un arrêt du Parlement exempta de la juri­diction épicospale et dudroit de Deport tous les prieurés-cures dé­pendant de Sainte-Geneviève (2 . Rappelons que le droit dc Déport consistait dans le privilège que possédaient les archevêques, évé­ques, archidiacres, archiprètres, grands vicaires et chapitres à tou­cher pendant une année les revenus des cures vacantes, sous la réserse d'en assurer l'administration. Toutefois ce privilège était subordonné à certaines conditions qui en limitaient singulièrement l'exercice. C'est ainsi que le renoncement à une cure, fait dans les formes régulières, enlevait aux grands dignitaires de l'église la jouissance de ce droit.
Jusqu'au xvii* siècle Saint-Médard n'eut que le rang d'église. Elle ne lut érigée en paroisse qu'en l635 et incorporée à l'arehi-prètréde Saint-Sé\erin dix-huit années plus tard (1673 3). L'année suivante. Louis Xl N'ayant supprimé toutes les justices particulières de Pariset les avant rattachées au Châtelet (édit de 1674 , l'abbaye de Sainte-Geneviève ne conserva de ses anciens droits sur Saint-
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